La Patience

« C'est peut-être le spectacle le plus raffiné du Off Avignonnais avec ses deux sources d'inspiration, l'une picturale : Balthus, l'autre littéraire : le Kama-sutra. François Marillier en ponctue le déroulement à la batterie sur les injonctions de Cyrille Bosc qui dirige également les acteurs... Il porte la blouse blanche tâchée du peintre armé de la baguette et non du pinceau... » - France Culture

« Là, le théâtre est conçu autour de l'œuvre de Balthus, et le peintre, baguette de chef d'orchestre à la main, rythme le travail d'un batteur et les gestes de deux chorégraphes... Evoquant les phases de l'amour avec un humour plein d'une culture surréaliste, ces comédiens, tels des sphinx, vous laissent entrevoir la complexité de l'enchevêtrement des formes... Peinture et théâtre sont ici mêlés pour évoquer nos passions d'aujourd'hui. » - Le Matin

« Un théâtre fondé sur un autre regard, et qui fascine. » - Philippe Adrien

suivi de Graffitis, monologue pour un percussionniste de Georges Aperghis avec François Marillier

« Graffitis est le soliloque jubilatoire et absurde d'un musicien mi-faune mi-enfant, qui, après une longue rêverie rythmée de mots imaginaires, découvre avec émerveillement ou stupeur son instrument. »
« L'interprétation de cette œuvre par François Marillier a été pour moi un moment inoubliable et me l'a fait entendre comme si elle avait été créée à l'instant même. » Mickaël Lonsdale

Festival d'Avignon 1986