« Qu'il est difficile d'aimer, qu'il est difficile... ou Courteline revu par le Théâtre 80. Au premier degré on pourrait se croire plongé dans un vaudeville. Mais derrière le comique des situations, la désinvolture brillante de l'écriture, Courteline dévoile avec cruauté les mécanismes qui pervertissent l'amour. Françoise Longeard s'efforce d'agrandir ces plaies qui s'ouvrent dans le texte, donnant au rite un goût amer... Françoise Longeard a su ainsi introduire des ruptures dans sa mise en scène, conservant l'humour dévastateur de Courteline en lui donnant une coloration nouvelle. » - Le Courrier picard

« ...une seule arme : le rire, la dérision... Les comédiens l'utilisent avec habileté. A souligner l'interprétation brillante de « Elle » : Hélène Cauet qui joue les quatre rôles de l'épouse. Un spectacle où la fantaisie est de mise, mais pas la futilité. » - Le Courrier picard