De retour d'Inde spécialement pour le Festival de Coye-la-Forêt.
Entre la danse indienne, la musique baroque française, des textes hébreux, persans, indiens ou chinois, quoi de commun ? « Quelque chose » se dit, un message cherche son chemin d'une conscience à une autre : c'est le poème, l'hymne. C'est labhinaya du Baratha Natyam. C'est la rhétorique chère aux luthistes du XVlle siècle.
Il y a la danseuse, le musicien, les textes. Les cultures, les époques, les langages divergent, mais à la base la même impulsion, la même quête : - la Terre pour y enfoncer ses racines ; - le Ciel pour y lancer son regard ; - le Cœur pour les sentir vibrer...