- Le Canard Enchaîné par Jean-Luc Porquet "C’est plus que troublant, drôle, dessillant : c’est renversant".
- Libération par Lara Clerc "Petit à petit, c’est le portrait d’une France qui ne connaît pas assez sa propre histoire qui prend forme."
- Le Figaro par Nathalie Simon "Une oeuvre de haute tenue à ne pas manquer. Lambert tord le cou aux clichés véhiculés par les manuels scolaires, se moque des poncifs, raconte enfin la vraie Histoire de France, le temps des colonies, le démantèlement de l'empire républicain."
- L’Humanité par G.R. "Ni dans les manuels scolaires dont il se souvient, ni dans ceux de sa fille aujourd'hui, on ne trouve par exemple trace d'une « guerre au Cameroun, d' aucun écrasement d'insurrection en Syrie ou à Madagascar, d'aucun tapis de bombe à Hai Phòng ni à Sétif."
- Mediapart - Histoire Coloniale et Postcoloniale par Cheikh Sakho et Gilles Manceron "Un spectacle à ne pas manquer. Avec les outils du théâtre, chair, mots et lumière, Nicolas Lambert feuillette les pages manquantes de notre histoire nationale."
- Télérama "Il déplie et lève le voile sur l'histoire de l'empire colonial français, souillée de crimes et d'exactions passés sous silence au profit d'un récit national plus glorieux."
- La Vie "La Vie aime passionnément. Le plaisir du jeu théâtral et l’humour, parfois grinçant, aiguillonnent l’intelligence et le souci de vérité. Nicolas Lambert invite à se pencher sur une page de notre histoire, assurément sombre mais qu’il faudrait lire avant de la tourner."
- La Lettre du SNES par Micheline Rousselet "Nicolas Lambert est un magnifique conteur. Pour révéler ces pans de l’histoire trop souvent cachés, il se fait ironique et grave, moqueur et dénonciateur, passionnant toujours. A recommander sans modération aux lycéens et étudiants !"
- Vie Nouvelle par Amélie Meffre "Un précieux spectacle durant lequel on s’indigne, on rit parfois et dont on ressort moins ignare."
- Avant-Scène "Artistiquement, une performance très maitrisée, servie par une galeries de personnages historiques rudement bien imités, d'autant qu ils se succédent au rythme effréné d'un montage cinématographique..."
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