Sur la scène, les paumés du petit matin, victimes d'un bal perdu, vont par deux comme les pigeons. Bulle est légère, Muso rigolo. Gino, un rien macho, a la belle Lulu dans la peau. Mais leur attraction est élastique comme le soufflet d'un accordéon de bal musette : un coup j't' aime, un coup j' t'aime plus ! La valse hésitation se prend pour un tango qui sent la poudre et carbure à l'amour vache ! |
« Les personnages à Durringer, ils causent pas comme dans les livres où c'est tout expliqué c'que les gens pensent.. » - Gildas Bourdet - « La Compagnie Derniers Détails démontre qu'elle ne manque pas de sang neuf ! » - L'Union - |