L’histoire débute par la découverte d'un parchemin écrit par une certaine Floria à saint Augustin. Vita Brevis, du nom de la lettre, est la narration d'un amour déchiré entre un évêque en proie aux démons de son passé et une femme qui ne peut se résoudre à l'oublier. |
« ...mise en scène remarquable... Au-delà de l'amour et de la mort, la pièce aborde les thèmes terribles de l'intolérance et du fanatisme. » - La Provence -I |
Claudine Fiévet, Renaud de Manoël, Jean-Luc Paliès.
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