Vita brevis (La vie est si brève) (de Jostein Gaarder) Adaptation de Louise Doutreligne

Compagnie Jean-Luc Paliès        Mise en scène : Jean-Luc Paliès


Durée: 1h30

L’histoire débute par la découverte d'un parchemin écrit par une certaine Floria à saint Augustin. Vita Brevis, du nom de la lettre, est la narration d'un amour déchiré entre un évêque en proie aux démons de son passé et une femme qui ne peut se résoudre à l'oublier.

Au Ve siècle, Augustin décide de se tourner vers Dieu. Aimer ou avoir aimé Floria est, pour cet homme, un péché effroyable. Il en fera état dans les Confessions.

La lettre de Floria est une forme de réponse aux douloureuses interrogations d'Augustin. Evoquant leurs moments amoureux elle se demande comment on peut, pour le salut de son âme, abandonner, sacrifier une femme et faire son malheur. Comment Dieu peut exiger, au nom de l'amour divin, la chasteté, alors que la création est une invite aux désirs et aux plaisirs...


Ce qu'ils en disent :

« ...mise en scène remarquable... Au-delà de l'amour et de la mort, la pièce aborde les thèmes terribles de l'intolérance et du fanatisme. » - La Provence -I


Interprétation :
Claudine Fiévet, Renaud de Manoël, Jean-Luc Paliès.