Seul sur scène, le narrateur : Il évoque sa rencontre de hasard avec un champion du monde d'échecs et comment il va être sauvé d'une sévère et inéluctable défaite par un mystérieux inconnu. A ce premier récit se juxtapose alors celui de l'inconnu, une victime du nazisme. L'échiquier devient le lieu et l’allégorie du pouvoir, de la puissance de l'esprit et de la folie... |
« André Saizet mène son récit avec sûreté, glissant l'implacable sous un ton du meilleur monde. On le suit, fasciné. » - Le Journal du Théâtre - |
André Salzet.
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