Le metteur en scène et acteur de la pièce, Jean-Louis Hourdin, nous le dit : « C'est un spectacle en hommage... au théâtre... à Dario Fo... en direct avec le public : mon patron, avec des textes de poètes : mes patrons. »
Ces poètes-là se nomment Aragon et Albert Cohen, excusez du peu ! Après avoir été ému et bouleversé jusqu'aux larmes, mais avoir aussi ri jusqu'au délire, on sort de la salle sans pouvoir parler pendant de longues minutes...
Cette œuvre irracontable, où l'on croise à la fois le désarroi d'un comédien et les tribulations d'un pape en Avignon, a été saluée unanimement dans cette ville l'été dernier, lors de sa création.
