A commencer par le titre de la pièce se prêtant à un jeu de mots, tous les ingrédients sont rassemblés ici dans un monde de frivolité et de fantaisie. Quiproquos, mensonges, disputes et réconciliations nous entraînent vers une scène finale délirante, à la limite du burlesque. Plaisir des mots, vivacité des dialogues d'un auteur qui n'est plus à présenter. Dans la bonne tradition de la farce britannique, le rôle de Bracknell est joué par un comédien masculin. Public anglophile, ne pas s'abstenir... |