Toshiki Okada, auteur japonais connu dans le monde entier, livre une radioscopie de la génération Y, celle du paradoxe de la facilité, l'instantanéité du savoir et de la précarité. Cela donne une pièce bouillonnante d'inventivité, qui respire, ouvre des portes; c'est drôle, interactif et coloré. Les comédiens ont un plaisir non dissimulé à jouer dans une permutation incessante des rôles. Les images et le ton du spectacle suscitent l'enthousiasme.
|
« Jérôme Wacquiez signe une brillante mise en scène autour de ces questions éternelles. Les comédiens virevoltent, échangent leurs rôles. La parole est déconstruite, partagée, formant ainsi un tout où les quêtes de chaque individu résonnent universellement. » - La Marseillaise
« On sent ici une profonde intelligence du texte conçu comme une partition... Cinq jours en mars est une belle occasion pour découvrir une écriture, un metteur en scène et une compagnie plus qu'inspirés. A suivre impérativement ! » - Les Trois Coups « Errance intime, tentative de négation du réel, dépersonnalisation de l'individu contemporain, un ballet théâtral cherchant à recréer une sensation d'euphorie dans la perte des repères qui s'exerce sur chacun. » - La Terrasse |
Charlotte Baglan, Alice Benoit, Flora Bourne-Chastel, Christophe Brocheret, Nicolas Chevrier, Florient Jousse, Makiko Kawai.
|
Crédit photos : |
Ludovic Leleu
|
Scénographie : Anne Guénant; création musicale : Léandre Vaucher; création lumières : Stéphane Petit; projections vidéo : Yuka Toyoshima; costumes : Flo Guénant.
|