Londres, 1934. Zweig a quitté Salzbourg, est-ce par lâcheté ? La vieille Europe est au bord de la destruction. On redécouvre avec plaisir le Zweig lucide, pessimiste, le biographe de génie plein d’esprit et ses rapports compliqués avec les femmes. L’écriture est précise, les dialogues sont fluides et les acteurs saisissants de vérité et de sensibilité. Le décor nous parle et raconte. Tout est tiré au cordeau, d'une qualité et d'une justesse sans faille qui contribuent à faire de cet extrait de la vie de Zweig une réussite. Une pièce de théâtre passionnante et d’excellente tenue. |
« On y redécouvre avec plaisir le Zweig lucide, pessimiste, désespéré déjà, le biographe de génie, plein d'esprit, et ses rapports compliqués avec les femmes. » - Télérama -
« Sur scène, sous les délicates lumières de Franck Thévenon, le metteur en scène Pascal Elso a réuni une distribution idéale. » - L’Express -
« La finesse de la mise en scène fait de cette brillante conversation – moments intimes de création littéraire et de rencontres amoureuses – un enchantement. » - Le Canard enchaîné - « Pascal Elso a mis en scène cette histoire avec un sens esthétique remarquable... Le décor magnifique de Bernard Fau fait songer à un tableau à la Edward Hopper dans lequel les personnages seraient enfermés. » - Pariscope - |
Pierre-Arnaud Juin, Olivia Algazi et Annick Cisaruk.
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Décors : Bernard Fau assisté de Corinne Julien. Lumières : Franck Thévenon. Costumes : Caroline Martel. Vidéo : Nathalie Cabrol. Son : Karim Lekehal.
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