Un portrait de femme qui traverse l’Algérie d’avant l’indépendance, les années de Gaulle et les débuts du féminisme. Il est question ici de mémoire intime et collective, de rapatriements et de bouleversement intérieurs. Le spectacle prend la forme d’une émission de radio pour dire les blessures intimes et comment s'en remettre. Bouleversant et revigorant. |
JOURNAL LA TERRASSE - Louise Chevillard : "La joyeuse et survoltée bande de femmes déroule son émission et refait l’Histoire de manière informelle, et pourtant on ne peut plus vraie, de l’indépendance de l’Algérie aux premières revendications féministes. C’est drôle, touchant et les comédiennes, captivantes dès les premières secondes. Elles sont hôtesses de l’air, De Gaulle, françaises d’Algérie, françaises tout court. Elles chantent, se remémorent, se disputent. Et nous font beaucoup rire." -
HOTTELLO - Véronique Hotte : « Le direct radio est savoureux, naviguant entre présent et passé, flash-backs de 1960 et 1968, archives sonores et rubriques actuelles, puis l’émission se décale, et Carmen surgit. Chacune des quatre actrices en incarne un éclat. Vision ludique de la radio et épanouissement de ses acteurs. » - M LA SCÈNE BLOG THÉÂTRE - Laure BARBAUD: « L’énergie est au rendez-vous mais aussi l’émotion. Car, cette évocation facétieuse des événements qui ont traversé l’Algérie est nourrie d’un terreau autobiographique plus grave. Celui du témoignage de la propre mère d’Agnès Renaud, la metteure en scène. » LA CROIX - Laurence Péan : « Quatre comédiennes de talent animent ce docufiction plein de finesse et d’humour où même le général de Gaulle avec son emphatique « Je vous ai compris » est de la partie, incarné avec veste et casquette militaire de rigueur par l’irrésistible Pauline Méreuze. » Coup de coeur |
Marion Duphil-Barché, Pauline Méreuze, Diane Regneault, Flore Taguiev
Et la voix de Jeannine Renaud |
Crédit photos : |
Laurent Nembrini et Alain Hatat
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Scénographie : Claire Gringore |